Cetanou


Capri sun VS Jus de fruits frais

Ecologiquement et économiquement vôtre

 

Capri Sun

Le jus importé

Capri Sun appartient à une entreprise allemande au chiffre d’affaire de 74 millions d’euros et est distribué par les entreprises Coca-Cola. Le produit a été dénoncé à maintes reprises pour :

  • sa teneur en sucre excessive équivalente aux sodas et sa faible valeur nutritionnelle
  • sa publicité marketing mensongère pour un produit contenant seulement 12 % de jus de fruit à base de concentré et enrichit en vitamines synthétiques
  • sa publicité axée sur le côté pratique et ludique de son packaging sous forme de poche individuelle à base de (polyester, aluminium et polyéthylène) et sa paille plastique qui ne sont pas recyclables et dont on retrouve partout les déchets.

Si pour tenter de redorer son image, Capri Sun présente maintenant des games “Pure” et “BIO” avec un pourcentage plus élevé en jus de fruits, cela reste toujours à base de concentré de jus de fruits d’origine UE et hors UE !

A La Réunion

Le département est l’un des plus gros consommateurs !

Beaucoup pensent qu’il s’agit d’une boisson locale alors qu’il n’en est rien !

Les concentrés de jus de fruits sont importés et mis en poche sur l’île en ajoutant l’eau et le sucre avec souvent “In ti mo kréol dési” pour créer l’illusion. L’entreprise est fleurissante avec 17 millions de poches produites par an !

 

Qu’est-ce qui attire les Réunionnais ?

La PUB !

Un marketing axé sur les marmailles, pratique etc. , les mises en avant par les grandes surfaces, les promos régulières.

Le prix pour certains : Par lot de 8, prix de revient à 1,84 € /l

Les Jus de fruits frais

L’offre locale

Nous avons une offre large de Jus de fruits frais de saison, 100% réunionnais et de qualité. Citons par exemple les bouteilles en verre “Caresse Créole” ou les bouteilles de Jus de fruits proposés par les producteurs locaux.

Les plus :

  • Un produit Péi de qualité favorisant l’économie locale
  • Un bon rapport qualité/prix pour du 100% jus frais
  • Pas d’impact environnemental lié à l’importation
  • un packaging en verre, réutilisable et recyclable

Le moins :

  • Le prix de 4,5 € à 6 € : un frein pour certaines familles

 

La solution alternative maison

Rien de plus simple, frais, local, sain et économique ! Il faudrait être fou pour se priver d’un jus savoureux préparé en quelques minutes. Un plein de vitamines sans additif.
Jus de Tangor ou Citron Péi

Avec 1 kg de Tangor acheté au marché à 1,50 € /kg nous obtenons 600 ml de pur jus naturellement sucré auxquels nous ajoutons 400 ml d’eau.

Même rendement avec les gros citrons Péi, achetés 1€ les 4, auxquels nous avons ajouté 2 cuillères de miel péi.

Prix de revient :
Entre 1 € et 1,50 € pour un litre de jus contenant 60 % de fruits Péi !

 

Et le vainqueur est ?


 
 
C’est à lire :

Clicanoo : La Réunion 2e pays consommateur du monde

Consoglobe : Les substances que nous cache Capri-Sun

IPréunion : La boisson trop sucrée qui inquiète

Clicanoo : Les 4 pêchés de Capri Sun

Clicanoo : Avis diététicien et nutritionniste Fridor Funteu


Recyclage et consigne du verre à La Réunion

Recyclage et l’économie circulaire une valeur sûre

Les Brasseries de Bourbon produisent la bière emblématique réunionnaise La DODO  ainsi que d’autres marques de sodas et bières.

L’entreprise Les Brasseries de Bourbon a su mettre en place un réseau efficient de collecte, réutilisation et recyclage des  bouteilles en verre DODO, une démarche écologique que nous saluons grandement !

Avec 40 millions de bouteilles Dodo collectées et réutilisées chaque année, nous contribuons activement à l’économie circulaire, économisons chaque année plus de 7500 tonnes de verre, soutenons les 10 entreprises de collecte et permettons aux 1000 ramasseurs de bouteilles de bénéficier d’un complément de revenu.

Ainsi, une dizaine d’entreprises gèrent la collecte, et de multiples ramasseurs aident à la dépollution en collectant, ça et là, les bouteilles vides qu’ils pourront revendre aux Brasseries de Bourbon pour se faire un peu d’argent.

ATTENTION :
Les bouteilles Dodo ne doivent pas être déposées dans les Bennes à verre mises à disposition par les Communautés d’Agglomération du Territoire mais doivent être placées au pied ou à côté dans un carton ou un sac, de façon à ne pas gêner le dépôt classique dans les bennes ni la récupération du verre par les entreprises habilités).
Les ramasseurs font régulièrement la tournée pour les récupérer.


 

Aller plus loin dans la démarche écologique

Avec 40 millions de bouteilles en verre collectées et réutilisées soit 7500 tonnes de verre, Les Brasseries de Bourbon sont les pionniers de l’île en matière de recyclage du verre.  L’entreprise témoigne par son exemple, qu’un système entrepreneurial liant écologie et économie circulaire est viable et répond à un enjeu véritable enjeu sociétal et environnemental.

Remplacer les plastiques et canettes par du verre

Les Brasseries de Bourbon ayant acquis cette précieuse expérience du recyclage du verre, nous les invitons à continuer cette démarche en intégrant le même principe pour l’ensemble de la production, dont les sodas et autre marques de bières.

En remplaçant les bouteilles plastiques, canettes par des bouteilles en verre in fine collectées et réutilisées, La Réunion pourrait réduire considérablement les déchets que nous retrouvons massivement sur l’ile.

 

 

Communiquer plus largement sur le recyclage
sur tous les supports*

  • Il y a encore de nombreux Réunionnais et à fortiori des touristes séjournant sur l’île, qui ignorent que les bouteilles Dodo ne doivent pas être placées dans les bennes à verre classique.
    Un simple message, sur toutes les publicités les supports de communication médiatiques des produits, permettrait de le faire savoir au plus grand nombre.
  • Lors des collectes de déchets organisées sur l’ile par des Bénévoles du tissu associatif ou par des Citoyens ou Collectifs, nous constatons un volume important de produits commercialisés par les Brasseries de Bourbon.
    Un message sur toutes les publicités et supports de communication appelant au respect de l’environnement serait utile pour rappeler qu’ils ne doivent pas être jetés sur la voie publique
  • Intégrer la problématique des capsules dans la communication : On en trouve partout, parfois rouillées, enfouies dans la terre ou dans le sable. Pollution et danger pour les adultes et enfants qui risquent de marcher dessus.

*L’infographie (source Brasseries de Bourbon) présente sur le site est parfaite mais n’est réellement visible que sur le web…


Ensemble pour le climat et pour l’environnement

Un retour à la consigne

Malgré les actions d’Institutions, Organismes, Associations, Collectifs et Initiatives citoyennes, les incivilités perdurent ! Les Makot ne respectent toujours pas l’environnement et les espaces publiques, jetant ça et là leurs canettes, bouteilles en verre, contenants plastiques divers…

Nous appelons à un retour au système de consignes en verre comme solution alternative, avec l’espoir qu’une valeur “marchande” du déchet sensibilise davantage l’ensemble de la population.

Engager tous les distributeurs de boissons

Les marques se défaussent à coup de com, les commerçants et distributeurs de boissons crient au “Panou Panou” mais tout le monde est responsable de l’environnement, du producteur aux consommateurs !

Toutes les boutiques, grandes surfaces, cafetiers, restaurants et rondavelles qui font du chiffre par la vente de boissons se doivent de :

  • Sensibiliser leur clientèle au civisme et au respect de l’environnement
  • Mettre à disposition des poubelles destinées aux contenants et un affichage clair sur verre, métal, plastiques ainsi que des cendriers afin d’éviter que les mégots ne jonchent le sol
  • Participer activement au nettoyage des espaces autour de leurs business et pas seulement sur leur pas de porte.
  •  

Changer son mode d’alimentation

Il y a urgence !

C’est un fait établi, la production intensive de viande dans le monde a un impact écologique dramatique

  • 70 % des terres cultivables sont exploitées pour nourrir le bétail destiné à la production de viande au lieu de cultiver des aliments pour nourrir les populations (voir illustrations Source : Viande info – L214
  • En parallèle, la pêche intensive engendre la disparition progressive des ressources marines.

 

 

Pour quelles raisons ?

Finances, profits, rendement, croissance ont été les maîtres mots du siècle dernier avec une croissance exponentielle ces 30 dernières années :

  • Produire plus, cultures génétiquement modifiées, utilisation de pesticides, déforestations massives pour produire des aliments destinés aux élevages intensifs, multiplication des flottes de pêche et de techniques dévastatrices
  • Développement d’usines à bestiaux et élevages en batterie, utilisation d’antibiotiques, hormones
  • Industrialisation du vivant, industrialisation de l’alimentation
  • Créer l’illusion par la chimie avec les additifs alimentaires : colorants, exhausteurs de goût, acidifiants, édulcorants, épaississants…
  • Créer l’abondance en exploitant les sols, les eaux et les ressources de toute la planète, externaliser pour offrir plus de profits aux acteurs économiques, exporter des produits transformés industriellement et chimiquement modifiés vers des zones de consommation.

 

Tout cela sans prendre en considération :

  • Le respect de la Planète, de l’environnement, de la biodiversité
  • La limite des ressources terrestres et océanes
  • La santé publique
  • Le respect du vivant et la souffrance animale
  • L’impact sur réchauffement climatique et la déforestation
  • L’impact de l’exploitation, du pillage des ressources dans les zones les plus fragiles
  • Les alertes répétées des scientifiques
  • Le bons sens et l’humanité

Résumé en vidéo

 

Nous savons que nous devons réduire sensiblement notre consommation

Changer nos habitudes n’est pas facile

Habitudes, traditions, terroir, patrimoine culturel, éducation, famille, goûts personnels, croyances, plaisir, budget, modes, publicité… influencent notre alimentation.

 

Si la transition vers une alimentation éco-responsable est indispensable, nous ne pouvons exiger ou contraindre les population au changement mais au contraire :

  • Faire preuve de tolérance et de respect envers les autres
  • Comprendre les différences plutôt que de critiquer et apprendre de l’autre
  • Faire preuve de bienveillance plutôt que d’attaquer ceux qui mangent autrement
  • Expliquer, partager, soutenir, aider à trouver des alternatives, répondre aux questionnements des uns et des autres

Il ne doit pas y avoir les gentils verts donneurs de leçon d’un côté contre les méchants viandards coupables de tous les maux de l’autre… Et à l’inverse, Les omnivores ne doivent pas considérer les végétariens comme des extra-terrestres utopistes alors qu’ils témoignent qu’un régime alimentaire responsable est tout à fait possible.

  • NON les Végétariens ne sont pas des fanatiques du Tofu, ni des soixante-huitards attardés, ni des personnes dénuées de goût
  • NON les Omnivores ne sont pas des cannibales sanguinaires irresponsables
  • NON les Flexitariens ne sont pas des bobos écolos bipolaires
  • NON les Végans ne sont pas la secte des légumineuses et des tubercules

 

Zonion s’en va en guerre… contre les fausses bonnes idées

  • Expliquer à un Réunionnais qu’il faut diminuer la viande et manger plus de céréales, féculents, légumes et grains
    Parce que l’assiette réunionnaise n’a pas attendu ces conseils pour intégrer tous ces ingrédients
  • Comparer la valeur nutritionnelle du Cari Pat’Cochon ou d’un bon Rougail saucisse avec celle d’un délicieux steak de tofu ou d’une tarte au concombre
    Parce que là… vous touchez l’intouchable et risquez l’insurrection
  • Dire à une famille ayant de petits revenus, d’acheter du bio pour la santé de leurs enfants !
    Parce que TOUT le monde aimerait avoir les moyens de manger BIO
  • Culpabiliser de manière agressive « Le lait c’est pour les veaux… si t’es pas un veau, bois du lait d’soja »
    Parce ce que dans ce cas… testez le jus de carottes, c’est végé et ça rend aimable
  • Dire à un végétarien ou un végan qu’il rate énormément parce que la viande ça a bon goût !
    Ne croyez pas qu’ils soient des exaltés du boulgour et des pois chiches, certains ne conçoivent pas de manger des animaux, d’autres s’abstiennent uniquement par acte citoyen pour luter contre la maltraitance animale
  • Accuser votre voisin d’être responsable de la souffrance animale dans le monde dès qu’il allume son BBQ
    Parce que cela ne fera pas avancer le schmilblick

 

Sérieusement… comment pouvons nous avancer ensemble ?

Des idées, des solutions alternatives ?

  • Partager des infos de sensibilisation et des alertes…. mais aussi de bonnes recettes et des tuyaux pour arriver à changer nos habitudes
  • Inviter à réduire, simplement réduire dans un premier temps, la consommation de viande et poisson
  • Encourager les petits gestes de ceux qui essayent et souligner l’impact positif de leurs efforts
  • Organiser des pique-niques découverte et partage avec de tout et des étiquettes d’info pour que personne ne se sente frustré d’une manière ou d’une autre et créer le dialogue
  • Organiser des ateliers goût et nutrition : Le plaisir gustatif est important, découvrir de nouvelles saveurs ou modes de cuisine et expliquer l’intérêt nutritif d’un plat sont les meilleurs arguments
  • Offrir un bouquin de recettes végétariennes ou un panier BIO au lieu d’une cafetière ou une boîte de marrons glacés
  • Signer les pétitions pour dire STOP aux Pesticides et refuser la maltraitance animale
  • Consommer des produits frais et locaux (voir annuaire : Producteurs BIO, Producteurs agriculture raisonnée, Apiculteurs, Eleveurs Péi, Produits Péi…).

A lire partir de mercredi 10 septembre : Trucs et astuces pour une transition végé.. en douceur


Imaginez le pouvoir des consommateurs réunionnais

Réduire notre impact environnemental et valoriser l’économie locale


Il suffit de pas grand chose pour faire un pas de géant… Juste REFUSER d’acheter des produits frais importés et consommer local :

  • Des fruits et légumes produits localement car nous avons la diversité et la qualité
  • Acheter du poisson frais de l’océan Indien chez le poissonnier et bannir les poissons congelés et ceux qui arrivent par avion
  • Manger de la viande Péi ! Beaucoup mangent du cochon… C’est tout de même incroyable que des gens achètent en grande surface du porc élevé en cage, nourrit avec des céréales produites à l’autre bout du monde, du jambon et du saucisson made in UE vendu sous plastique alors que nous avons des éleveurs Péi dans les hauts et de la charcuterie artisanale !
  • Acheter du poulet et des oeufs La kour, du poulet BIO ou fermier de la Réunion au lieu des produits congelés traités et sans saveur.

 

Certains diront “Ah oui mais le local c’est plus cher, importé lé mwin cher !

C’est là que nous devons faire un choix… en manger que 2, 3 ou 4 fois par semaine ou diminuer les quantité MAIS manger des produits de bonne qualité, d’une part pour notre santé et d’autre part pour faire stopper la folie irresponsable des élevages intensifs.

Nous aurons aussi besoin du soutien des Producteurs et Eleveurs de La Réunion pour un juste équilibre des prix lors des ventes directes.

Ansanm po domin !


Cetanou est un site participatif, vos idées, vos solutions comptent… A vous de jouer : Publier un article

Terre sols terreaux de La Réunion

Aimer la Terre réunionnaise c’est s’engager à la protéger

Protéger sa terre, son environnement, l’océan qui l’entoure

Veiller à l’équilibre du vivant, à la fertilité des sols, au bien être de ses habitants

Aujourd’hui et pour les générations futures

 

La Terre vivante, témoin d’une Histoire douloureuse et de l’exploitation de ses richesses naturelles, témoin de la disparition de nombreuses espèces, de cultures rasées en faveur des champs de canne jusqu’à couvrir plus de 55 % de la surface agricole utile. L’intensif, la course à la productivité, à la compétitivité a meurtri une partie des sols par l’usage irresponsable de pesticides et d’engrais chimiques.

Les produits locaux de qualité s’exportent tandis que les importations nous abreuvent de malbouffe provenant des 4 coins du monde… un fonctionnement déraisonné à l’empreinte écologique catastrophique.

“A nos actes manqués, à tout ce que l’on a raté” comme disait la chanson !
A nos erreurs collectives dirais-je, celles de quelques uns dont l’unique moteur fut l’enrichissement et celles des autres, endormis à coup d’pub, devenus “consophages”…  à savoir, NOUS, à part de rares exceptions.

Le reconnaître, en prendre acte et réfléchir aux possibles changements à titre individuel ou collectif est déjà un pas vers demain.

 

Parlons terre… la terre au coeur de l’absurde !

Il suffit de se rendre en jardinerie ou autre magasin spécialisé (ou pas), pour réaliser l’ampleur du phénomène. Certains nous parlerons de la loi de la concurrence, de la diversité etc. Des tas de “Marques” nous sont proposées, toutes plus “Green”, plus “riches” et plus “fertiles” en fonction du marketing du moment. La plupart de ces marques appartiennent à des multinationales et nous proposent du made in France, Irlande, Allemagne, US, Espagne…



Réfléchissons
Renseignons-nous
Creusons un peu

  • Fertiligène est l’une des marques de l’ex groupe “Scotts” à qui appartiennent aussi KB et leur partenaire Round’Up. En 2018 Scotts s’offre un greenwashing et devient “Evergreen Garden” … ça fait tout de suite plus écolo n’est-ce pas ?
  • DNA Cork nous propose une belle tourbe irlandaise… ouais, mais bon, nous sommes à La Réunion
  • Terreau Sustrato made in Espagne… proposé par “La Foir’fouille”… qui comme chacun sait est une chaîne experte en jardinage (LOL)
  • Natursol tout un programme, ça sonne bien… marque ex Algoflash rachetée par le groupe Allemand K+S, spécialiste de l’extraction minière de potasse et de sel gemme en Europe, Amérique du Sud, Amérique du Nord
  • Et le plus fabuleux c’est que l’on trouve à gogo des scories importées et du paillage coco d’Asie etc.

Et dans les produits BIO… même si le BIO arrive en 1re place dans nos coeurs, il faut être raisonnables :

  • Terre & Nature nous propose Copodécor…
    A-t-on réellement besoin de copeaux de pins maritimes pour orner nos jardins créoles ?
  • ORBIO, BIO mais…
    En matière de terreau orchidées La Réunion n’est-elle pas la mieux placée ?

 

Les Solutions alternatives locales

Les consciences s’éveillent, se réveillent… les produits Péi sont à l’honneur, le BIO et la permaculture se développent, l’impact écologique de nos actes commence à marquer les esprits. Nous rêvons de sauver le Monde, mais le changement commence à la maison, ne serait-ce qu’en semant ou plantant au jardin ou en pot et en prenant l’habitude de valoriser nos déchets verts en bon compost.

NOUS POUVONS décider du changement en réfléchissant un instant avant tout achat. Restons sur le thème de la Terre :

 

Notre Terre est belle et les professionnels réunionnais ont le savoir faire pour nous proposer de la Terre de qualité : Terre de jardin, terreau, terreau de semis, terre spéciale Orchidées ou spéciale Anthuriums, du paillage, des scories de nos sols volcaniques…

Des produits Péi qui n’ont voyagé que sur le territoire et nous sont proposés à meilleur prix que ceux importés !

Cliquez sur les logos de JPP et Terre Végétale pour en savoir plus.


Témoignage : Le week-end passé, j’avais fièrement “récolté” un plein seau de compost du mini composteur en palette de mon micro jardin. Un petit tour en jardinerie pour acheter de la terre de jardin. Occupée à jouer de technique pour placer mon charriot et y faire glisser 2 sacs de terre JPP, un Monsieur très courtois m’a gentiment proposé son aide.
Puis, en me montrant son charriot, il me dit, toujours avec autant de gentillesse, “si je peux me permettre, je vous conseille cette marque, je suis passionné de jardin et j’ai toujours eu de bons résultats“.
Comme je venais de commencer cet article, je m’empressais de lui expliquer mon choix… qu’il a fort bien compris.
Il s’est attardé un moment dans le rayon et je me suis éloignée. Je ne sais s’il a changé de produit, mais j’espère que l’idée va germer…


Participer collectivement

Nous n’avons ni le talent ni l’expérience d’Elise Lucet, ni les moyens de la fabuleuse équipe de Cash Investigation, mais chacun de nous peut observer, rechercher des infos, creuser, se renseigner. C’est à nous… d’AGIR !

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