Cetanou


Micro plastiques à La Réunion

18 pièces sur à peine 50 cm !

 
DIX HUIT pièces sur à peine 50 cm 😢 : bouts de cordage synthétique, fil de pêche avec hameçon et plomb, bâton de sucette, bouchons plastiques et boutons vaporisateurs, morceaux de gaine de chantier, emballage de médicaments  et tous ces petits morceaux de micro plastiques… enchevêtrés dans les végétaux secs qui s’envolent les jours de grand vent pour finir en mer.

Ces micros plastiques terminent dans l’estomac des oiseaux, des tortues marines et des poissons.

Ils sont des milliards à joncher les plages du littoral et échappent aux ratissages et bien souvent à l’oeil.  Cette photo a été prise sur la plage du cimetière, à la sortie Sud de Saint-Leu.

Interdite à la baignade, cette plage est peu fréquentée et présente moins de déchets qu’à d’autres endroits, et pourtant, nous y trouvons les traces d’incivilités humaines juste au pied du muret face à l’espace de stationnement, au pied des bancs où l’on vient admirer les vagues ou le coucher du soleil ou encore juste en face l’aire de stationnement ou quelques pêcheurs ou pique niqueur viennent passer un moment.

En se promenant le long de l’eau, on trouve relativement peu déchet… C’est en remontant vers la zone recouverte de Patates à Durand que l’on trouve une frange de petits bois sec, algues et autres, ainsi que ces nombreux micros plastiques.

J’en ramasse tous les jours au fil des promenades, sur cette plage ou autres plages saint-leusiennes. Mais il y en a encore et encore !




Sensibilisation des jeunes : Diplôme des anges gardiens de l’Océan


Cette image circule sur la toile et transcrit parfaitement notre mission : C’est à nous d’AGIR !

Réflexion collective sondage alimentation

 

Sondage sur l’Alimentation à La Réunion réalisé du 24 juin au 30 juillet


Consulter les résultats du sondage



Merci à tous pour votre participation au Sondage et d’avoir pris le temps de publier vos suggestions.

La réflexion collective a fait ressortir de très belles propositions sur vos attentes en matière d’alimentation, votre envie de manger mieux, manger sainement et de privilégier les productions locales et les produits Péi.

Les Résultats chiffrés du Sondage montrent clairement une prise de conscience écologique et cette réflexion met en avant les solutions alternatives attendues par les Réunionnais.

 

Ariane : Dans l’idéal pour mon alimentation je voudrais :

  • que du local en fruits et légumes sauf exceptions nécessaires (et pas des fraises d’Espagne…)
  • du coup enlever de la canne pour ajouter des cultures vivrières
  • développer la permaculture
  • encourager les élevages de viande a petite échelle en plein air respectueux de la vie animale (quitte à payer beaucoup plus cher la viande au kg) – développer davantage le vrac qui est trop a petite échelle actuellement

Sinon bravo pour votre page je trouve l’idée géniale 🙂

 

Audrey Retrouvons du bon sens dans notre mode de consommation.
Respectons notre mère la Terre et comme à son habitude elle nous le rendra au centuple!

 

Caroline : C’est juste une urgence de se rendre compte du mal que l’on se fait et que l’on fait a la planète et à nos enfants en restant dans ces modes de consommation.
Ne lâchons rien !

 

Charlotte : Créer de l’emploi et des avantages fiscaux pour le maraîchage et l’élevage Locaux pour remplacer progressivement puis définitivement la canne à sucre.

 

Coralie : Que toutes les exploitations cessent la monoculture quelle qu’elle soit pour installer une biodiversité arborée qui ramène la vie dans le sol, la biodiversité en général et permette de lutter contre l’érosion du sol par ruissellement et alimente, par infiltration, grâce aux racines des arbres, les nappes phréatiques.

 

Denise : Se grouper se fédérer, SCOP, SCIC, AMAP ….

 

Eliane : Faire plus de prévention sur la nourriture dans les écoles et auprès des familles. Repas végétarien dans les cantines.

 

Élise : Favoriser la vente 0 déchet, en agriculture raisonnable et locale Les ventes sans déchet et les locales coûtent encore extrêmement chères !

 

Elodie : Les produits locaux doivent être beaucoup moins chers que les produits importés.

 

Amandine : Il y a vraiment du boulot, comme partout, je crois que la politique doit impulser le reste. Politique pourrie = consommation doit impulser le reste. Politique pourrie = consommation pourrie. Ici comme en métropole

 

Evelyne : Plus de proximité avec les agriculteurs : pouvoir acheter à la Plantation. Avoir accès aux produits transformés localement ‘ne pas devoir aller aux stand touristes pour retrouver nos produits). Nous lé réunionnais nous lé informé des actions à l’actualité quand l’événement la fini !!!!!

 

Flavia : “Développement du maraîchage bio à la Réunion avec cultures Péi. Installation de Terre de Liens pour faciliter l’accès à la Terre aux paysans et permettre la culture de petites parcelles.”

 

Flore:

  • Développer la production (sur modèle bio/agroforesterie) de produits à gros volume de consommation afin de ne plus devoir les importer.
  • Revoir le principe de subventions de la canne, c’est une aberration !!
  • Encourager les nouveaux agriculteurs à s’installer en bio, avec volonté de vendre en circuits courts.
  • Freiner les nouvelles installations en canne, surtout si en conventionnel.
  • Communiquer de manière très clair sur ce qui est Péi ou non. Un label “importé” aurait du sens, pour mettre en évidence la foule de produits pour lesquels nous dépendons de l’importation (et donc des transports, aléas du marchés, etc.) à côté d’un label Péi. Etc.

Merci et bon travail :)”

 

Glad : J’aimerais Beaucoup qu’on puisse identifier les producteurs qui vendent des Produits agriculture raisonnée et bio plus clairement sur Les marchés forains, car c est très difficile rien n’est affiché La plupart du temps.
Merci

 

Jean-Michel : Le mieux vivre ne doit pas être un choix mais une obligation, nous sommes la 2ème région consommatrice de glyphosate de France, nous avons des records d’allergies.
Nous pouvons, à la Réunion passer à un mode Bio assez facilement, car la génération des 60, 70 a connu cette époque et sait en vanter les avantages. Avantages qui sont, en premier lieu : la santé, mais aussi la création d’emplois. Nous aurions tout intérêt à changer.
Mais, ce ne sont pas nos politiques qui vont nous emmener sur cette voie, c’est aux citoyens de les y contraindre et pour se faire nous devrons être majoritaire. Voilà le problème comment faire cela nécessiterait une vaste campagne, coûteuse.
Alors nous allons continuer avec de petites actions comme ce sondage qui n’est qu’une goutte qui n’apportera que trop peu de chose pour prétendre a un changement.

 

Jenn : Très difficile de s’approvisionner encore en Bio et local sur l’île… C’est la course. Certains sont inaccessibles financièrement. Il faut que ça bouge! Du local et bio, l’île a toutes les richesses…

 

Jennifer : Favoriser aussi la vente en vrac

 

Krn : Nou large pa !

 

La créole : Un marché forain bio

 

La Kaz’RSE : il faut démocratiser le bio et faire plus de marché bio dans toute l’île

 

Lala Herisoa : Le 100% BIO me semble difficile à atteindre à court terme à La Réunion. Et il en est de même en ce qui concerne le changement du comportement alimentaire des réunionnais, ce qui est normal compte tenu du caractère culturel de ce dernier.
Développer la permaculture et habituer les réunionnais, petit à petit, à consommer moins de viande, pourquoi pas par une éducation qui pourrait très bien se faire dans les cantines scolaires, ce sont les petites idées qui me traversent l’esprit au moment où j’écris.

 

Laura : Le collectif Oasis Réunion a pour objectif de faire tous ensemble de La Réunion la 1ère oasis agro-bio-socio-écologique de l’Océan Indien et le premier département “Objectif zéro phyto – 100 % bio

 

Lauriane : Je souhaiterais plus de bio et de repas sans viande ni poisson dans les cantines, pour éduquer la future génération

 

Laurie : Merci pour ce sondage

 

Liliz : il faudrait plus de bio dans les marchés forains

 

Marco :

  • Monter beaucoup plus d’associations type le comptoir du vrac. Mais un peu partout sur l’île pour éviter de faire trop de kilomètre. Et essayer que ces Assos se sourcent un maximum sur l’île.
  • Faire des partenariats avec des producteurs locaux si certains produits n’existent pas pour essayer de les faire localement si c’est possible techniquement.

 

Marie : Plus de bio facile à trouver pour fruits et légumes

 

Martine : Cartographie des circuits courts.

 

Mary : Aller vers le bio, développer le vrac.

 

Mimi : Sensibiliser les jeunes dans les établissements scolaires

 

Nath : Plus de permaculture

 

Ophélie : Un marché forain bio

 

Solrog : Je trouve incongru l’idée d’un label Permaculture. A mon sens la perma part de soi…

 

Sylvain : En finir avec la monoculture et à fond vers la permaculture et le maraîchage raisonné

 

Thom : Un accompagnement nécessaire de la population et des agriculteurs afin de passer à une agriculture réunionnaise durable.

 

Tiphaine : Question 3, il manque un critère “écologie” : j’essaie de limiter au maximum les déchets donc parfois, je choisis un produit parce qu’il est moins emballé plutôt que parce qu’il est bio (cf. suremballage du bio importé …) + question 5 : une réduction des emballages (via alimentation locale)

 

Valentin : Arret la canne !

 

Vincent : Bravo pour ce que vous faites, continuez !

 

Virginie : merci

 

Nico : Subventionner la conversion au bio, encourager la création de potagers communs et de rudiments de l’agriculture à l’école primaire.

 

YoAg : Planter des carottes à la place de la canne et verser les mêmes indemnités (canne à l’hectare) aux agriculteurs maraîchers.

 

Lucile : Il n’y a selon moi rien à interdire mais beaucoup à expliquer :

  • d’où vient le poulet grillé acheté dans le chemin et pourquoi il se découpe sans couteau
  • qui a créé Agriculture Raisonnée et dans quel but marketing
  • comment poussent les tomates à 80 centimes
  • qui produit du lait à La Réunion, dans quelles conditions et avec quel revenu
  • quelle surface agricole serait nécessaire pour l’autonomie alimentaire (riz pluvial, grains, huile, fruits et légumes au moins).

Merci d’envoyer les résultats de ce sondage qui est certainement très biaisé (Facebook sélectionne déjà des mangeurs responsables parmi vos abonnés)”

 

Titi : racheter les terres aux planteurs de cannes pour diversifier les cultures et reboiser des espaces naturels

 

Lilia : Arrêter d importer les produits de mauvaise qualité, meilleur tarifs sur les produits locaux et sans pesticide et une viande de meilleur qualité … préserver la Réunion des pesticide et engrais nocifs…. l éco système de la Réunion pourrais être autonome…

 

Luca : Certains choix de réponse ne sont pas clairs: par exemple AMAP et coopérative ce n’est pas du tout le même fonctionnement/démarche, dans les critères d’achat le choix est très réduit (quid de l’environnement?), encore sur la question “où achetez-vous vos produits alimentaires” elle est trop vaste et il aurait fallu cibler par catégorie de produits, par exemple moi j’achète dans tous les points de vente indiqués, mais j’ai mis juste les 4 où j’achète le plus. Bon courage !

 

Marie : Faire des tables rondes pour se rencontrer et partager nos idées’

 

Christel : Plus de PDV en bio, perma

 

Kat : Ne pas oublier les personnes en situation de précarité et favoriser des actions en ce sens comme des jardins partagés, allier bon prix et produits de qualité et locaux. Des actions tels dans le sens de l’ESS serait idéal dans l’île, il faut soutenir l’initiative de l’association monnaie Péi et développer des ateliers afin d’accompagner le public vers une consommation plus responsable, développer l’esprit critique des personnes. Chose pas facile au vu du contexte actuel. Un mouvement collectif pourra faire changer les politiques!

 

Nad : Développer des micro-boutiques pour permettre la vente des productions des permaculteurs, des surplus de fruitiers des particuliers et de tous les petits producteurs, qui cultivent sans intrant!

 

Emmi : On dit interdire les sachets en plastique mais sur le marché forain on ne voit que ça. Il fait mettre l’alternative sous le nez des acheteurs : pochons en tissus réutilisables, bocaux, bee vrap etc. Si on ne fait pas ça, ils n’iront jamais le faire eux même et on n’avancera pas. Ceci n’est qu’un exemple mais on devrait le faire pour absolument tout (pailles, barquettes, emballages plastiques couverts en plastique, serviettes etc.) Merci d’avoir fait ce sondage et bon courage pour la suite !

 

Mélissa : Fournir des graines de légumes ou des plants d’arbres fruitiers aux particuliers, proposer à ceux qui veulent de pouvoir entretenir 2 poules ou plus par foyer et qui leurs fourniront des œufs.

 

Rachel : Encourager la consommation bio Péi, Rendre accessible financièrement le bio (aides aux agriculteurs qui font de la permaculture pour revendre à un prix correct et baisser les taxes sur le bio importé). Plus c’est local, moins c’est cher. Cadrer et organiser la rencontre entre l’offre et la demande locale. Mettre en avant le bio Péi par un étiquetage facile et reconnaissable et mis en avant sur les étalages. Favoriser l’éducation, faire passer le message que nous n’avons pas besoin de tout ce qu’il y a dans les grandes surfaces : acheter moins mais mieux. Faire évoluer les mentalités et retrouver le goût de faire. Boycotter les marques qui mentent. Élaborer un outil de veille afin d’avoir des infos sur la provenance et la fabrication des aliments



Résultats sondage alimentation

Résultats du Sondage sur l’Alimentation à La Réunion

Sondage sur l’Alimentation à La Réunion mis en ligne du 24 juin au 31 juillet, relayé sur notre Page Facebook

Un très grand MERCI à tous pour votre mobilisation et votre participation.


Question 01 – Quel est votre type de régime alimentaire ?

Sur cette question, nous avons dû modifier 2 réponses pour rester cohérents avec les réponses apportées à savoir : Deux personnes qui avaient sélectionné les régimes Omnivore et Flexitarien, ne mangeant qu’une fois par semaine de la chair et privilégiant la Qualité. Pour ces 2 publications, nous les avons placées dans le régime Flexitarien.

La conscience écologique fait son chemin ! Une majorité de Flexitariens, de plus en plus de végétariens. Les mentalités évoluent et les gens commencent à manger en conscience.


 

 

01 A – Pour les végétariens et végétaliens, vous êtes ?

Dans l’énoncé de cette question, nous avions omis les flexitariens et omnivores qui évoluent vers le végétarisme. Les réponses ont bien été incluses dans le tableau.



01 B – Pour les Flexitariens : Vous consommez de la chair à quelle fréquence ?

Un bilan qui témoigne du changement… Moins de viande, moins de poisson, plus de qualité, une prise de conscience des problèmes environnementaux liés à l’élevage intensif et à la surpêche mais aussi une recherche d’équilibre nutritionnel.



02 – Quel type de produits consommez vous ?

Là encore, les résultats sont encourageant et montre une attente de valorisation des Produits Péi, de produits exempts de pesticides et une limitation des importations.



03 – Quels sont vos principaux critères d’achat ?

Une remarque très pertinente a été faite dans les messages, il manquait le critère “écologie” ! qui aurait pu inclure les produits sans emballage. Nous avons une petite idée par les achats effectués sur les Marchés forains et boutiques vrac. D’autres sondages seront fait sur ce sujet.

Manifestement nous avons les yeux grands ouverts ! La Santé de nos familles est le premier critère retenu. Concernant l’économie locale, ce critère n’est pas le principal choisi, mais, les Réunionnais en sont très soucieux et l’économie locale a largement été soutenue. Le Prix est bien sûr un critère vital, les graphiques montrent que les productions locales devraient être plus abordables.




04 – Où achetez vous vos produits alimentaires ?

Bilan : Choisir, consommer de manière réfléchie, privilégier les circuits courts. Même si beaucoup vont encore dans les grandes surface, les marchés et boutiques sont privilégiés pour le frais. Les résultats sont aussi liés au manque de marchés bio et boutiques vrac comme le soulignent plusieurs participants dans la réflexion collective.




05 – Quelles évolutions souhaitez vous pour La Réunion ?

Les Réunionnais ont de nombreuses attentes, veulent plus de productions locales de qualité, des sols sans pesticide, plein de sagesse pour le bien de tous, producteurs et consommateurs.


06 – Vos idées, suggestions, commentaires…

Le meilleur pour la fin… Vos envies, propositions, idées pour la Réunion de demain




A fait… qui a participé au Sondage ?

Encore merci a zot ! Nous avons manqué de participants dans les Cirques, mais une publication de Cilaos, c’est super!

Arachide, Pistache, cacahuète ile Réunion

Arachides –  Pistaches – Cacahuètes à La Réunion




Un peu d’histoire : L’Arachide nous offre ses fruits, les cacahuètes … mais dans les îles on l’appelle communément « Pistache », bien que la cacahuète n’ait rien à voir avec le fruit du pistachier. Toutefois, au XVIIe siècle, le fruit était bel nommé « Pistache de terre » !

Mais à la Réunion, nous commettons une erreur grave en nommant notre merveilleux « Rougail Pistache » le «Rougail Dakatine » !
Comment est-ce possible de parler d’une recette traditionnelle réunionnaise et lui donner le nom d’une marque, importée de Métropole, dont le produit est fabriqué à partir de cacahuètes importées du Brésil, d’Argentine et des USA ?
Les boîtes de conserve « Dakatine » sont entrées dans les foyers réunionnais pour les préparations culinaires et y sont restées par habitude…. Pourtant, que contiennent-elles ?

  • Composition : 97,5 % d’arachides et Emulsifiant d’origine végétale E471 (pouvant contenir de l’huile de palme) (voir source)

 

Avons-nous des Solutions Alternatives locales ?



Développement d’une Filière Arachide BIO à La Réunion ?

La culture de l’Arachide est tout à fait possible sur l’ile en dessous de 500 m et sa culture est facile. Pour répondre aux attentes des consommateurs et à la nécessité de respecter les sols et l’environnement, une production en agriculture biologique ou en permaculture serait la meilleure alternative.

Les cacahuètes sont riches en protéines 27 %, riche en lipides 50 % (de bons gras mono et polysaturés), riches en fibres alimentaires et source de minéraux et de vitamines B3, E, B1, B6. Le beurre d’arachide est un substitut à la viande riche en protéines. Il contient également des fibres, des matières grasses saines.

Des fruits riches à consommer grillés ou bouillis mais aussi le développement d’ateliers de transformation en pâte d’arachides sucrées ou salées ou encore la possibilité de production d’une huile d’arachide locale.

 

Planter des arachides dans la cour

Les graines lèvent en moins d’une semaine (voir Grainothèque ) !

Faire sa pâte d’Arachide maison

– Il n’y a pas plus simple à réaliser
– Cela ne prend qu’une dizaine de minutes
– Nous sommes sûrs des ingrédients utilisés

Ingrédients

  • Des arachides (BIO c’est meilleur et plus sain)
  • Un peu d’huile d’arachide (c’est tellement plus logique et 1000 fois mieux que du E471 à l’huile de palme)
  • Ingrédients facultatifs : Sel pour les recettes salées ou Miel si vous souhaitez préparer un beurre de cacahuète sucré pour les desserts ou une pâte à tartiner (mais c’est déjà très bon sans)

Recette

  • Faire torréfier les graines de cacahuètes à la poêle
  • Ecraser au pilon ou à la moulinette en ajoutant un peu d’huile d’arachide (plus rapide et plus lisse à la moulinette mais si vous souhaitez garder un côté croquant, le pilon est idéal )
  • Ajouter un peu de sel ou de miel (selon vos envies mais pas obligatoire
  • Mettre dans un bocal en verre fermant hermétiquement (se garde parfaitement au frigo)